Il y a les travaux qui n'en finissent jamais
Les miens, intérieurs,
Et ceux tonitruants de cet immeuble
Qui font trembler les murs.
Il y a la fraîcheur du vent qui serpente en juin
Et l'inquiétude à évoquer
Les années à venir.
Alors d'où vient
Cette odeur de chocolat chaud
Quand j'ouvre la fenêtre ?