à Caroline Ducey.
D'essence hollywoodienne :
La grâce et la vitalité,
Le beau visage affûté,
Jean Arthur chez Frank Capra,
Margaret Sullavan,
Ou Blanche Sweet qui chantait :
There's a tear for every smile in Hollywood.
Rencontre dans un restaurant de St-Quentin
Où je mange une sorte de Dame Blanche qu'ils appellent ici :
Souvenir d'enfance.
Le lendemain après-midi
Aurélia lui fait une coiffure de lionne des steppes,
Elle dévore la caméra comme si c'était un steak.
Valse hésitante des regards et des mots qui feint l'assurance :
Le cinéma.
Faut-il passer par Romance pour devenir Delphine Seyrig ?
Était la question que j'avais sur les lèvres
Avant d'y avoir
Son joli grain de beauté en dessous de l'oreille.