vendredi 11 mars 2011

8,9.

Stéphane m'appelle pour me dire qu'il vient de terminer
Le chemin de fer du Bordel Japon.
Quelques minutes après je vois aux actualités
Que tout déraille.
La violence des hautes vagues qu'on ne peut juguler
Et qui emporte tout dans ses moindres détails.
Japon que j'aime tant.
Et c'est comme si l'effroi,
Le tracas de l'instant,
Venaient de donner à Pierre Barouh
Ses cheveux blancs.